L’émission mensuelle de la rédaction de CScience IA, « C+Clair », s’intéresse ce mois-ci au financement de l’intelligence artificielle (IA) au Québec.
L’IA est sur toutes les lèvres depuis quelques années, et nos gouvernements ne sont pas étrangers au phénomène. Au Québec, on compare même le potentiel actuel de l’IA à celui de l’hydroélectricité dans les années 1960, c’est-à-dire un important moteur de développement social et économique.
Dans cette optique, les gouvernements canadien et québécois – mais aussi les investisseurs privés – ont consacré des sommes considérables à la création et au développement d’un écosystème de l’IA parmi les plus dynamiques au monde.
Mais la vente d’Element AI, un fleuron des entreprises québécoises en IA, a suscité de nombreux commentaires et nous amène à questionner la stratégie des dépenses gouvernementales dans ce domaine, Est-elle bien adaptée aux besoins de la R&D et de la commercialisation des jeunes pousses prometteuses et des incubateurs et accélérateurs qui les accompagnent, sans oublier bien sûr l’énorme enjeu des entreprises qui désirent intégrer l’IA dans leurs opérations.
Financer l’IA, ça sert à quoi ?
Pendant un peu plus de 30 minutes, le directeur de publication de CScience IA, Philippe Régnoux, interroge deux experts pour nous aider à éclairer cet enjeu, soit Luc Sirois, nouvellement nommé innovateur en chef du Québec au sein du Conseil de l’innovation, et Nathalie de Marcellis-Warin, présidente-directrice générale du Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations (CIRANO).
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