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L'IA dans les Fintechs en chiffres

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Questions au Ministre de l'Économie et de l'Innovation 

Les Québécois ont-ils raison d'utiliser les Fintechs ? Ont-ils confiance en ces technologies ? Et sont-elles bien encadrées aujourd'hui ?

 

Le taux d'utilisation des Fintechs a plus que doublé au Canada ces dernières années, selon une étude d'EY publiée l'année dernière. Pierre Fitzgibbon, ministre de l'Économie et de l'Innovation s'est prêté au jeu du "3 Questions À" pour nous donner le point de vue du gouvernement sur l'attrait des Québécois pour ces nouvelles technologies.

[VIDÉO] - Peut-on s'improviser trader grâce à l'IA ?

Depuis quelques années, les applications et les plateformes d'investissement en ligne se sont multipliés, et ont largement démocratisé le trading.

 

Aujourd'hui, grâce à des puissants algorithmes, le petit investisseur n'a plus forcément besoin d'un conseiller financier pour placer son argent en bourse. Une petite révolution dans le monde du trading qui séduit particulièrement les jeunes.

 

Un sujet de Chloé Gibert et Antoine Bourdarias.

Écoutez l'émission C+Clair

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La technologie joue un rôle important dans l'évolution des services financiers. Dans cette émission mensuelle de la rédaction de CScience IA, « C+Clair », nous nous penchons sur le rôle de l’intelligence artificielle dans le domaine de la finance.

 

Le secteur des technologies financières, ou « fintech » ne cesse de croître. En 2018, l’investissement a atteint 55 milliards de dollars à l’échelle mondiale soit près du double de l’année précédente, selon la firme Accenture.

Les défis de la Fintech québécoise

Les nouvelles technologies en matière de produits et de services financiers sont en pleins essors au Québec. Ce vaste secteur, communément nommé FinTech, rassemble désormais des centaines de jeunes pousses et entreprises bien établies dans la province, qui devront relever de nouveaux défis dans les prochaines années.

 

Que ce soit l’intelligence artificielle ou le blockchain, plusieurs innovations redéfinissent le domaine de la finance, de l’assurance et de l’univers banquier en général.

Une gestion du crédit moins « risquée » avec l’IA?

institution financière. Crédit photo: Pexels/Anthony Shkraba.

Rigueur et précision sont de mise dans le monde financier. Les institutions bancaires recherchent constamment le prochain outil qui leur permettra d’accéder au meilleur rendement. Cela est rendu possible grâce à l’intelligence artificielle (IA): les solutions disponibles sont de plus en plus performantes et capables de détecter des subtilités jusqu’à présent insondées lors de transactions. Toutefois, elles ne font pas toujours l’unanimité.

L’évolution d’un précurseur québécois des mégadonnées

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Montréal est reconnue dans le monde pour sa culture de startup, de fintech et ses entreprises innovantes. L’une d’elles, TickSmith, spécialisée en mégadonnées et en technologie financière, veut développer son marché aux États-Unis, en Europe et en Asie. Confinement mondial ou pas.

Les banques : Au-delà des chatbots

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Les agents conversationnels, dits «chatbots» sont désormais monnaie courante sur les sites web de nombreuses entreprises. Encore grands favoris des institutions financières, ceux-ci font partie d’un large éventail de services regroupés sous une approche en intelligence artificielle qualifiée de «traitement du langage naturel». Décryptage de l’utilisation de l’IA dans les banques.

De nouveaux algorithmes au service de la finance

BV : Le Pr Shengrui Wang, du Département d’informatique de la Faculté des sciences de l’UdeS, Jean-Marc Patenaude, président de Laplace Insights, et le Pr Guy Bellemare, du Département de finance de l’École de gestion de l’UdeS. Photo : Michel Caron – Université de Sherbrooke

L’Université de Sherbrooke vient de conclure un partenariat avec la firme en intelligence d’investissement Laplace Insights afin de concevoir de nouveaux algorithmes mieux adaptés pour prédire les variations des marchés financiers.

 

Le défi cœur du partenariat est d’allier l’intelligence artificielle et l’intelligence humaine pour prévoir les mouvements des marchés financiers.